Peinture
EN VERT FER | 2011
4 peintures / acrylique sur medium, 68 x 80 cm
Mon voyage au Brésil et en Bolivie fut quelque peu écourté par le fait que mes moyens de payement furent hackés et mon compte ponctionné. Je commençais tout juste à entrer dans ce que j’étais venu chercher, à savoir la forêt amazonienne. J’avais rejoint ma compagne linguiste sur son terrain, chez les Ese Ejja, peuple indigène de Bolivie.
J’avais prévu, pour pousuivre, un treck de plusieurs jours au Pérou lors duquel j’aurais continué de tenir mes carnets de croquis doublés de photographies en vue d’un travail futur. Mais je fus contraint de revenir sur mes pas et de rentrer.
De retour à Lyon, je redécouvrais les serres du Parc de la Tête d’Or et à défaut de l’enfer vert et de mes désillusions quant aux “tristes tropiques”. Je m’imprégnais de cette flore sous verrières enneigées et décidais de les peindre. Je souhaitais en délivrer le sentiment du vert-obsur.
Mon voyage au Brésil et en Bolivie fut quelque peu écourté par le fait que mes moyens de payement furent hackés et mon compte ponctionné. Je commençais tout juste à entrer dans ce que j’étais venu chercher, à savoir la forêt amazonienne. J’avais rejoint ma compagne linguiste sur son terrain, chez les Ese Ejja, peuple indigène de Bolivie.
J’avais prévu, pour pousuivre, un treck de plusieurs jours au Pérou lors duquel j’aurais continué de tenir mes carnets de croquis doublés de photographies en vue d’un travail futur. Mais je fus contraint de revenir sur mes pas et de rentrer.
De retour à Lyon, je redécouvrais les serres du Parc de la Tête d’Or et à défaut de l’enfer vert et de mes désillusions quant aux “tristes tropiques”. Je m’imprégnais de cette flore sous verrières enneigées et décidais de les peindre. Je souhaitais en délivrer le sentiment du vert-obsur.